Rigueur germanique
Après le charme Italien, l’efficacité germanique. C’est propre, précis, performant, efficace.
Coté charme, la présentation est germanique, donc, on repasse. Certes, les sièges Recaro lui donne un air sportif. La planche de bord avec l’instrumentation digitale est, de mon avis, un clin d’œil à sa cousine d’outre atlantique, la corvette C4 de 1984..
Inox
La ligne d’échappement n’a pas supportée la neige de l’hiver 90 et le silencieux intermédiaire est dessoudé.
Revisitée
D’origine l’auto n’ est pas vraiment une référence coté tenue de route et efficacité châssis. Un réglage châssis et 4 amortisseurs plus tard, l’auto se montrera d’une efficacité redoutable, le 1.8 i ISUZU est rageur, l’auto prends 100 en seconde, sans être dans le rouge coté compte tour, et affiche une vitesse de pointe indécente !
Acquisition faite en novembre 90, à 40.000 Kms et revendue en mai 92, à 80.000 kms.
Améliorations
Quelques améliorations sont donc apportés, dans le même esprit que sur l’Alfa :
- Collecteur quatre en deux en un ANSA,
- Ligne échappement complète ANSA,
- Admission revue, par un sorcier Italien dont j’ai déjà parlé,
- Amortisseurs DE CARBON Gaz & Huile Double Effet,
- Plaquettes tendres,
- Liquide de freins haute température,
- 4 pneus Michelin MXV2 en 185 * 60 *14,
- Harnais 3 points,
Aléa
Une vilaine flaque d’huile me fait faire une très belle figure de patinage artistique, dans une courbe, et paf le talus. Premier carton sérieux depuis le permis. Heureusement que j’avais un harnais et des baquets, sinon cela aurait été compliqué… L’auto part faire un stage chez le carrossier et c’est reparti.